Paul Anka, sous le falacieux prétexte d'avoit écrit quelques hymnes pop-rock se permet de reprendre sur scène ce qu'il estime être des classiques rock contemporains.
Sont donc passés à la moulinette swing Van Halen, Lionel Richie, Nirvana, Soundgarden...
Quelle horreur d'entendre un Sinatra d'opérette reprendre Smells like teen spirit en ayant la conscience aigu que ce chauve maigrelet et gras du cheveu n'a absolument pas conscience de ce qu'il peut chanter.
Si l'interprétation n'était pas si mauvaise, on serait presque indulgent face à une incarnation de la vie facile, libérée de toute contrainte dépressive, de tout mal-être où le bonheur se réduit à une fellation au Champagne et à un air redondant par trop cuivré interpréter lun des morceaux-phare de la nouvelle idole de la dépression adolescente permanente.
Ce smells...-là me donne la nausée.
Aprés si ce con veut reprendre la pire atrocité de Van Halen, footballistique par destination, grand bien lui fasse...